L’enquête de Christian Chesnot et Georges Malbrunot “Nos très chers émirs” lance un véritable pavé dans la mare des relations très rapprochées entre certains politiques français et l’Etat richissime du Qatar. Sans déconsidérer le travail de ces “excellents journalistes”, Nicolas Beau, auteur du Vilain petit Qatar, y voit une opération habile des Qataris pour envoyer un message aux plus gros poissons qui sont seulement soupçonnés, faute de preuves, d’avoir été corrompus par les cadeaux de l’émirat.