Des mails internes de la Commission européenne, récupérés par des ONG, montrent l’envers des négociations autour du Roundup. On y voit Bruxelles céder aux exigences des lobbys du glyphosate (composant du désherbant Roundup) pour ne pas divulguer des études controversées (financées par les industriels) réclamées à cor et à cri par des scientifiques et les ONG.